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jeudi, 06 juillet 2017

Le nouvel archevêque de Strasbourg veut-il être lynché par la bien-pensance ?

 Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2017

Par François Teutsch

Il faut savoir gré à François Teutsch d'avoir fait écho [Boulevard Voltaire, 4.07] aux déclarations courageuses et non-conformes au politiquement et même au moralement correct, du nouvel archevêque de Strasbourg. Certes, elles sont une exception, parmi quelques autres, à la politique générale de l'Eglise en matière migratoire. Une politique que nous réprouvons. Mais l'archevêque de Strasbourg, est tout de même, traditionnellement, une autorité. Quel écho ses paroles auront-elles parmi ses confrères ? Dans la mouvance catholique et au delà ? Attendons les suites.  LFAR  

 

Le nouvel archevêque de Strasbourg, Mgr Luc Ravel, est fils de général, polytechnicien, et ancien évêque aux armées. Voilà un homme de caractère, qui plaisait aux militaires, et qui détonne dans le milieu habituellement feutré de l’épiscopat français. Pensez donc : le successeur du très politiquement correct Mgr Grallet vient d’effectuer quelques déclarations percutantes aux Dernières Nouvelles d’Alsace. Normal, pour un militaire, direz-vous. Un peu moins pour un évêque.

À propos de l’avortement, ce grand tabou de la société française qui fait si peur à ses confrères, le nouveau Strasbourgeois n’y va pas par quatre chemins : « L’avortement n’est pas seulement concédé, mais promu. C’est une promotion, et ça, je ne peux pas l’accepter, pas que pour une question de foi, mais parce que j’aime la France. ».

C’est ce qui s’appelle envoyer du lourd. En deux phrases, trois hérésies : l’avortement est encouragé, ma conviction n’est pas seulement religieuse, et c’est une question de patriotisme. Mais que veut cet homme ? Être lynché par la bien-pensance ? Il est acquis, définitivement, que la question est interdite. Exprimer son opposition à cet acte est mal, un mal objectif, qui ne peut procéder que d’une foi religieuse forcément obscure et antique. Mais pas, au grand jamais, de la raison.

Quant à lier la chose à l’amour de la patrie, c’est carrément monstrueux. Pourtant, il ose. 

Mgr-Luc-Ravel-19-novembre-2015_0_730_486.jpgIl ose d’autant plus que, persistant dans la provocation outrancière, Mgr Ravel continue : « Les croyants musulmans le savent très bien que leur fécondité est telle qu’aujourd’hui, comment ils appellent ça ?… Le Grand Remplacement, ils vous le disent de façon très calme, très positive, “Mais de toutes façons, un jour, tout ça sera à nous”. »

Luc Ravel est-il atteint de folie, de démagogie aiguë, de populisme incoercible ? Présente-t-il les symptômes du masochisme le plus grave ? Avec de tels propos, il pourrait bien se mettre à dos une bonne partie de son presbytérium, de la conférence épiscopale, et peut-être même d’une partie de la curie romaine. Sans compter les journalistes, les politiciens, les responsables d’associations diverses et variées et les artistes – n’oublions pas ces grandes consciences de gauche. Ces paroles pourraient lui coûter fort cher. 

Pourtant, il ne semble pas invraisemblable à tout homme de bonne volonté que l’avortement soit encouragé plutôt que toléré. Que la question relève de l’anthropologie et non de la foi. Que 220.000 avortements par an aient un effet démographique certain. Que les musulmans ne pratiquent pas – ou très peu – cet acte. Qu’ils aient, par ailleurs, beaucoup plus d’enfants que les ex-chrétiens. Que, logiquement, les deux sujets soient liés, et que le remplacement démographique, qu’il faut assimiler à un suicide français, ne soit pas une chimère.

Un autre évêque le clame : c’est un Ghanéen, Mgr Turkson, cardinal de la sainte Église. Récemment encore, il expliquait qu’il fallait fermer le robinet de l’immigration à sa source, c’est-à-dire en Afrique. Quelques années auparavant, il avait fait scandale en diffusant une vidéo contraire à l’ordre public officiel aux cardinaux réunis à Rome, une vidéo intitulée Muslim Demographic

Comme quoi, avec un peu de courage, beaucoup de charité et de foi, un évêque peut dire la vérité sans faux-semblant. Sans jeter l’opprobre sur ses frères en humanité, mais simplement en rappelant une réalité que seuls les Occidentaux refusent de voir. Merci, Monseigneur !   

mardi, 30 mai 2017

Chronique du Grand Remplacement : au Canada un timbre consacré à l’islam

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

Le portail catholique suisse, cath.ch, l’annonce : le Canada va avoir son tout premier timbre consacré à l’islam :

« Postes Canada a dévoilé le 23 mai 2017 le tout premier timbre canadien consacré à l’islam, rapporte le site catholique Présence information religieuse.

La vignette, destinée au courrier à l’intérieur du Canada, souligne à la fois l’Aïd al-Fitr et l’Aïd al-Adha, deux des plus importantes fêtes religieuses de l’islam. L’Aïd al-Fitr souligne la fin du jeûne du ramadan tandis que l’Aïd al-Adha, la fête du sacrifice, marque la fin du pèlerinage annuel à La Mecque. Au centre du timbre, en calligraphie arabe, se trouvent les mots Aïd Moubarak, ce qui se traduit par Bonne fête de l’Aïd.

D’ici la fin de l’année, d’autres timbres viendront illustrer la diversité religieuse canadienne, a annoncé Postes Canada. Cet automne, un timbre soulignera Diwali, la fête des Lumières célébrée par les hindous, tandis qu’en décembre, un timbre sera consacré à Hanoukka, une fête qui rassemble, durant huit jours, les membres de la communauté juive.

Depuis 1964, à l’occasion de la fête de Noël, Postes Canada émet annuellement des timbres à motifs religieux et profanes. Avec ce timbre sur l’Aïd, c’est la première fois qu’une vignette philatélique à grand tirage souligne une fête musulmane. (cath.ch/pir/mp) »

Le Grand Remplacement est en marche…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mardi, 23 mai 2017

Allemagne – Une ministre d’origine turque nie l’existence d’une culture allemande

Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2017

par 22 mai 2017

aydan-oezoguz.jpgAllemagne – L’immigration de grand remplacement est ici très visible. Et l’arrogance anti-allemande est chaque jour renforcée. Dernier exemple en date avec Aydan Özoğuz. Cette femme d’origine turque est aujourd’hui secrétaire d’État à la Migration, aux Réfugiés et à l’Intégration du gouvernement fédéral allemand, ainsi que vice-présidente du SPD, le Parti social-démocrate.

Or, dans une interview pour le Tagesspiegel, cette femme issue de l’immigration et faite ministre dans l’Allemagne qui l’accueille n’hésite pas à mépriser publiquement le peuple allemand et sa culture, niant l’existence même d’une culture allemande spécifique.

Au cours du même entretien, Aydan Özoğuz a prétendu que la richesse de l’Allemagne reposait sur la mondialisation et le multiculturalisme issu du nombre croissant d’immigrés qui peuplent l’Allemagne…

Selon un discours bien connu également en France, Aydan Özoğuz affirme encore que le multiculturalisme constitue « la force de notre nation » avant de conclure qu’il ne faut pas demander aux immigrés de s’intégrer, encore moins de s’assimiler.

 

Source : medias-presse.info

samedi, 08 avril 2017

Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises fermées

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises ferméesVoici encore un fait que les négationnistes du « Grand remplacement » auront du mal à nier. Selon un article du Gatestone Institute daté du 2 avril 2017, depuis 2001, 500 églises chrétiennes ont fermé dans la capitale britannique pendant que 423 mosquées ont été ouvertes, la part de la population anglicane étant passée de 21 à 17 % entre 2012 et 2014, soit une perte sèche de 1,7 million de fidèles.  La part des musulmans dans les autres grandes villes britanniques a considérablement augmentée : ils représentent désormais 15,8 % de la population de Manchester, 21,8 % de celle de Birmingham et 24,7 % % de celle de Bradford.

L’église de Hyatt United, sur Hamilton Road, est devenue une mosquée pour des colons égyptiens et l’église Saint Pierre, église catholique, est devenue la mosquée Madina. Rappelons que l’une des premières mosquées de Londres en 1976, celle de Brick Lane à Spitalfields, le fut en lieu et place d’une synagogue, qui elle-même remplaça un temple méthodiste en 1898, lui-même succédant au temple bâti pour les Huguenots français réfugiés en 1742. Submergés ethniquement, il ne reste plus que 679.000 chrétiens à Londres, il ne reste plus que 12 fidèles dans la paroisse de San Giorgio dont l’église peut accueillir 1230 personnes et 20 à celle de Santa Maria.

Le plus intéressant est que sur les 1700 mosquées anglaises, il y’en en a que 2 qui prônent un islam non-fondamentalisme, contre 1176 aux Etats-Unis ! Il existe également à Londres 100 tribunaux de la Charia, la capitale anglaise ayant élu un maire musulman (qui d’ailleurs a condamné mollement les attentats du 22 mars dernier), le Pakistanais Sadiq Aman Khan, ayant succédé au truculent pluripatride (turc par son grand-père paternel, issu de la famille princière du Wurtemberg par sa grand-mère paternelle, anglais par son grand-père maternel et juif par sa grand-mère maternelle) Alexander Boris de Pfeffel Johnson (Boris Johnson en version abrégée). Rappelons que Londres fut évidemment majoritairement hostile au Brexit, la carte lisible ici étant plus que révélatrice

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur le Gatestone Institute, disons simplement que ses liens avec la prétendu « fachosphère » sont inexistants : fondée par Nina Rosenwald (Démocrate) qui en est la présidente, il est dirigé par l’ancien ambassadeur américain à l’ONU, John Robert Bolton (Républicain) et compte dans ses rangs l’écrivain David Joel Horowitz, le juriste Alan Morton Dershowitz, le conseiller pour la défense de Donald John Trump Sebastian Lukacs Gorka (fils du résistant hongrois Paul Gorka), ainsi que le baron Daniel William  Finkelstein (rédacteur en chef du Times) et, avant sa mort, ce bon vieux Eliezer « Elie » Wiesel, humoriste et romancier Prix Nobel de la Paix.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 20 janvier 2017

Grand Remplacement: de 1996 à 2016 explosion des prénoms musulmans dans les départements de France

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2017 

par 19 janvier 2017

Les deux cartes comparatives suivantes illustrent l’explosion du pourcentage des prénoms musulmans dans chaque département de France, entre 1996 et 2016, à partir des chiffres de l’INSEE.

Chaque début d’année, l’INSEE publie les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900. A partir des relevés des registres de l’État-civil, deux cartes des prénoms musulmans en France: 1996 et 2016, illustrent Le Grand Remplacement qui s’accélère depuis 20 ans. Les chiffres indiqués pour chaque département sont des pourcentages. Ainsi en Seine-St-Denis 42,9% des prénoms sont musulmans, en Val-de-Marne 26,3%, dans le Rhône 23,5%, dans les Bouches-du-Rhône 20%, dans l’Hérault 19,8% et à Paris même:17,1%, etc.

Le discours public vous annonce des pourcentages d’immigration « acceptables » chaque année. Cela semble constituer un petit pourcentage à l’échelle de l’année. Sauf que ce prétendu petit pourcentage est exponentiel et qu’il s’accumule d’année en année depuis 1946, avec une accélération spectaculaire à partir de 1999. Alors qu’avant 1946 la courbe était plate. Et tous ces immigrés ou issus d’immigrés, font beaucoup d’enfants et sont principalement en provenance de pays musulmans.

Avortement + Immigration = Grand remplacement

Les avortements, sont aujourd’hui encouragés, décriminalisés et au contraire présentés comme vertueux par la loi puisqu’ils sont associés à la lutte féministe.  Ces avortements qui sont mieux remboursés que les frais de naissance, touchent principalement la population autochtone qui est réticente à vivre assistée. L’avortement se substitue ainsi aux aides à la famille et permet d’escamoter un éventuel abandon d’enfant. L’avortement banalisé et encouragé est la base du grand projet de substitution de populations et de civilisation mis en place au niveau de l’ONU qui est la première à présenter chaque année un rapport des « populations de remplacement » en direction des pays de civilisation chrétienne qu’on regroupe sous le terme d’Occident. La Russie luttant au contraire contre ces procédés en encourageant les naissances est l’exception du monde chrétien. L’ONU feint de croire que la dépopulation des pays de civilisation chrétienne est spontanée, alors que la dépénalisation ainsi que les milliards distribués chaque année pour encourager les avortements, prouvent le contraire. Les lois socialistes de Marisol-Touraine, François Hollande et Manuel Valls, non seulement dépénalisent l’avortement et l’encouragent, mais en plus elles pénalisent toute lutte contre l’avortement.

Les cartes ci-dessus sont plus éloquentes que tous les discours.

Ci-dessous la méthodologie de cette étude, ainsi que quelques graphiques supplémentaires très éloquents:

Méthodologie :

Il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.

Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », pas évident de les identifier parmi les 31000 prénoms de la base de l’INSEE…

Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com,www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’originewww.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Certains prénoms, bien que très populaires dans la communauté musulmane, peuvent parfois être attribués à des enfants non musulmans. Il a été pris la décision de ne qualifier de prénom musulman que les prénoms qui n’induisentAUCUNE AMBIGUÏTÉ sur la question. Les chiffres présentés par la suite sont donc nettement modérés au regard de la réalité.

Exemples de prénoms de filles non catégorisés musulmans : Sarah, Ines, Lina, Sofia, Sabrina, Lydia, Selma, Camelia, Célia, Lisa, Myriam et autres Lilia, exemples chez les garçons : Adam, Aaron, Abel, Eden, Adem, Ismael, Elyes, Liam et de nombreux prénoms à origine hébraïque.

Cette ambigüité plus importante sur les prénoms de fille est vérifiée sur le fait que les garçons portant un « prénom musulman » représentent plus de 55% de l’échantillon, contre 51% pour les prénoms « non musulmans » (oui, 1% de spermatozoïdes sont sexistes). 

Étude au niveau national

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Jusqu’à la fin de la seconde guerre, c’est le calme plat… Moins de 1 naissance sur 1000 en France est concernée par l’attribution de prénoms musulmans… NB : l’Algérie, alors département français, n’est pas comptabilisée, idem pour les autres colonies.

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Phase 1 : Les choses commencent à changer à partir de 1946, première année ou plus de 1000 enfants nés en France porteront un prénom musulman.
1958, De Gaulle obtient les pleins pouvoirs constitutionnels, c’est également cette année-là que le taux de prénoms musulmans donnés aux enfants  français dépasse pour la première fois les 1%. Ce taux augmente de façon faible mais régulière pendant les 30 glorieuses, avec une croissance moyenne de 0,1 points chaque année.

Phase 2 : 1973, le « baby-boom » est déjà loin, la crise pétrolière éclate, le taux chômage bondit et Giscard arrive au pouvoir. Il décide de faciliter le regroupement familial. La loi Veil sur l’IVG est votée (pour rappel, l’Islam bannit plus que toute autre religion l’avortement). On constate une accélération sensible du taux de prénoms musulmans qui augmente de 0,3 points chaque année.

Non, c’est le christianisme qui bannit plus que toute autre religion et même plus que l’Islam, l’avortement, car l’Islam tolère l’avortement jusqu’à un mois. Ce qui n’est pas le cas du catholicisme. Mais les chrétiens, ou les anciennes populations chrétiennes, ne s’occupent plus des fondamentaux de  leur religion depuis que Vatican II et les papes conciliaires à leur suite, ne cessent d’édulcorer le message de l’Église. Tandis que les musulmans restent majoritairement fidèles aux fondamentaux de leur religion.

Phase 3 : Les années Mitterrand…  Contrairement aux idées reçues, ces 14 années ne vont pas constater une accélération du taux d’octroi de prénoms musulmans. Celui-ci, qui est de 6,5%, en 1983 décroit même légèrement jusqu’à la fin du second mandat. Ce taux ne sera ré-atteint qu’en 1998, la fameuse année « Black Blanc Beur ».

Phase 4 : De 1995 à aujourd’hui. La 2ème génération issue du regroupement familial des années 70 est en âge de procréer. Une nouvelle immigration, issue notamment d’Afrique sub-saharienne se développe. Cette communauté, culturellement fertile, conserve souvent un mode de vie traditionnel.

Ces 20 années présentent une croissance impressionnante du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France, aussi bien par son importance que par sa régularité avec 0,65 points chaque année.

 

Source : medias-presse.info via Fdesouche